Voici les résumés des chapitres 201 à 203 de Remarried Empress.
Chapitre 201
Le duc Ergi, Glory et Verdi sont dans un chariot. Verdi est très réticent avec le duc, elle le voit comme un ennemi qui a trahi Rashta. Néanmoins, c’est la seule personne qui peut l’aider en ce moment. Verdi doit fuir avec Glory de peur que Sovieshu tue l’enfant. Elle accepte à contrecœur l’aide du duc Ergi.
Le duc sort du véhicule et dit à Verdi de vite partir, car l’empereur risque de la retrouver.
Sovieshu soupire, depuis que le siège de l’impératrice est vide, il n’arrête pas de recevoir des lettres de proposition de mariage. Mais pour le moment, il ne veut personne à ses côtés. En plus, il est peut-être vraiment infertile. S’il se marie une troisième fois et n’a pas d’enfant, tout le monde croyait vraiment les paroles de Rashta.
Hors de son bureau, il pense à Verdi et Glory, qui doivent être loin maintenant. C’est alors qu’un ambassadeur de l’Empire d’Occident arrive et explique qu’il est là pour une urgence. Il raconte l’attaque de Navier.
Sovieshu panique et demande tremblant si Navier est morte. L’ambassadeur le rassure, disant qu’elle est dans le coma. Bien avant que l’envoyer parle, Sovieshu propose l’aide de Evely. Il ordonne au Marquis de Karl de préparer Evely pour le voyage, elle doit partir maintenant.
Sovieshu voit le wagon d’Evely partir. Il appelle Navier, demandant ce qui se passe. Sovieshu a mal à la poitrine. Il a peur.
Quelques jours plus tard, une autre mauvaise nouvelle arrive. Rashta a été retrouvée morte dans sa cellule par un garde, alors qu’il lui apportait sa nourriture. Sovieshu décide d’y aller.
En montant les escaliers de la tour, il se demande si elle est vraiment morte. Rashta était une femme forte déterminée à vivre. Il ne la voyait pas souhaiter mourir.
Hélas, arrivé dans la cellule, il voit le cadavre de Rashta. Son visage est déformé, il n’arrive pas à la reconnaître. Les seules choses intactes sont ses cheveux argentés un peu recouverts de sang. Il comprend qu’elle s’est empoisonnée.
Sovieshu fronce des sourcils, il regarde le corps et descend les escaliers. Il demande que le corps soit maquillé et qu’elle soit enterrée dignement.
Sovieshu repense au dernier événement. Le divorce, sa fausse fille Glory, la mort de Rashta. Lui, il voulait juste une famille aimante, pas comme celle dans laquelle il avait grandi. Il rêvait d’une femme et d’enfant.
Soudainement, un de ses serviteurs lui annonce que le Duc Ergi veut le voir. Sovieshu lui demande alors pourquoi il est ici. Le duc répond qu’il vient juste le saluer. Sovieshu ne veut pas le voir, mais d’un côté il veut savoir pourquoi il a fait tout ça. Le Duc Ergi n’a rien gagné. Sa réputation est au plus bas, tout le monde se méfie de lui. En plus, il n’aura pas le port.
Le duc Ergi remercie l’empereur de son accueil et lui dit au revoir. Sovieshu lui demande s’il sait que Rashta est morte ?
Le duc trésaille un instant. Sovieshu lui demande alors quel genre de ressentiment il a pour avoir fait ça à Rashta. Les lèvres du duc se tordent. Il a l’air de vouloir rire et pleurer.
Chapitre 202
Le Duc Ergi dit un nom : Miss Alaysia. Sovieshu est surpris, cette femme est celle qui a donné les cookies qui rendaient stérile. C’est mêmes biscuits que Navier et Sovieshu ont mangés, étant enfants. Cette femme a été condamnée.
Sovieshu demande s’il est le fils d’Alaysia. Le duc répond que sa mère n’est pas une humaine ressemblant à un cafard. Puis il sourit.
Sovieshu se rappelle qu’il avait entendu des rumeurs sur Alaysia. Elle se serait suicidée, ou elle serait morte tuée et son corps aurait été jeté à la mer. Elle pourrait aussi bien être vivante et avoir mis au monde le duc Ergi. S’il est vraiment le fil de cette femme, c’est normal, qu’il se venge. Mais ce n’était pas le cas. Alors pourquoi agissait-il ainsi ?
Le Duc Ergi tend alors deux petites boîtes à Sovieshu et part. Sovieshu les ouvre et découvre deux clés. Une des clés est bleue, l’autre est rouge.
Il demande à un de ses secrétaires ou le duc Ergi logé. Il demande que l’endroit soit fouillé. Un des serviteurs découvre un coffre-fort. Sovieshu demande qu’on lui ramène.
Quand Sovieshu le voit, il demande s’il y en a un autre, car il a deux clés. Les chevaliers répondent qu’il y a qu’un coffre.
Sovieshu ouvre le coffre-fort. Dedans il y a un autre coffre-fort, cette fois il utilise l’autre clé. Il trouve un petit papier. Il lit dessus : la princesse est la vraie fille de Sa Majesté.
Sovieshu est choqué et n’y croit pas. Puis il se souvient du prêtre qui ne voulait pas faire le deuxième test. Mais également que le Duc Ergi était au temple. A-t-il trafiqué le test de paternité ?
Sovieshu panique et parle frénétiquement à Karl. Il lui demande de vite ramener Verdi et Glory. Il veut vérifier rapidement si Glory est véritablement son enfant.
Sovieshu se dit que le duc à voler Glory, car il savait qu’en lisant ce papier il voudrait refaire le teste. Mais, également, que toutes ces manipulations avec les clés étaient pour gagner du temps et fuir plus loin.
Sovieshu regarde les yeux vides le portrait de sa fille. Il est confus.
La vicomtesse Verdi est dans un chariot, avec Glory dans ses bras. Elle est heureuse de pouvoir mettre l’enfant en sécurité. En descendant à une auberge, elle entend les gens parler d’elle. Elle est recherchée activement par les chevaliers de l’empereur. Verdi prend peur et va directement dans le véhicule s’en prendre de nourriture. Pendant le voyage, elle sert anxieusement Glory dans ses bras.
Son stress diminue au fur et à mesure qu’elle s’éloigne de l’empire. Puis soudainement le chariot se renverse. Des bandits attaquent le chariot. Ils volent les bijoux et l’argent. Ces hommes sont ceux que le frère de Navier a combattus, ils sont revenus en sachant que Koshar était dans le Grand Empire de l’Ouest.
Verdi s’évanouit et un des bandits prend Glory. En voyant l’enfant, il reconnaît sa femme. Il demande alors au chef s’il peut prendre l’enfant. Ça fait des années qu’il essaye d’avoir un bébé avec sa femme.
Le chef accepte. Le bandit heureux prend Glory dans ses bras et chante une berceuse.
Chapitre 203
Un des hommes de Sovieshu lui dit la mauvaise nouvelle. Verdi a été retrouvé, mais pas l’enfant. Sovieshu est accablé. Le chevalier continue en disant que le chariot a été retrouvé dans la forêt renversée. Le conducteur est mort et Verdi est blessé. Il avoue que ce n’est sûrement pas un accident, mais une attaque de bandit. Le visage de Sovieshu devint blanc. Il demande qu’on fouille la forêt et les villages aux alentours.
Le marquis Karl demande ce qu’il doit faire de Verdi. Car si Glory est vraiment une princesse, ce qu’a fait la femme est un crime grave. Mais pour le moment on ne sait pas si Glory est vraiment de sang royal. Sovieshu répond qu’il s’en occupa plus tard.
Sovieshu, le cœur douloureux s’assied sur une chaise. Il pense à son enfant et se demande où elle est. Sovieshu a peur que Glory soit vendu comme esclave ou pire encore. Il a également peur que l’enfant ait rampé loin du chariot et se fasse tuer par une bête.
Désespéré, Sovieshu demande de l’alcool. Il boit au point de se saouler. Ses serviteurs tentent de l’arrêter, mais en vain. C’est le marquis qui prend la bouteille, et arrête enfin Sovieshu.
Le marquis de Karl essaye de rassurer Sovieshu, en lui disant que le test semble vrai, que tout le monde a vu le résultat. Il continue en disant que c’est impossible pour le duc Ergi de changer le test. En plus, s’il retrouve Glory, il ne peut plus refaire le test de paternité, car Rashta est morte.
Le regard de Sovieshu est froid aux remarques du marquis. Celui-ci continue en disant que le duc Ergi a laissé un tel mot pour le tourmenter.
Sovieshu l’arrête en disant qu’il y a une chance que Glory soit sa fille. Si c’est le cas, il ne veut pas être un père qui fait du mal à son enfant. Le marquis part, déterminé à retrouver Glory. Il sait que s’il ne fait rien, Sovieshu aura du mal à sortir du choc.
Malheureusement, après avoir tout fouillé, Glory ne fut pas retrouvé. Chaque soir, Sovieshu boit plusieurs bouteilles pour pouvoir dormir. Il pleure également beaucoup. Le Marquis Karl tente de calme l’empereur. Mais il ne peut rien faire. Il souhaite juste une bonne nouvelle, comme le réveille de Navier.
C’est alors qu’une autre mauvaise nouvelle apparaît. Un chevalier a retrouvé les vêtements ensanglantés de Glory dans une grotte. On sait que Glory n’est pas morte, c’est le chef des bandits qui a ordonné de faire une mise en scène. Mais ça, les chevaliers ne le savent pas.
Sovieshu reçut les vêtements. Il les tient tendrement. Puis, il pleure tout en les serrant contre lui. Il appelle plusieurs fois le nom de son bébé. Il va voir le portrait de Glory et se rappelle des moments qu’il a passés avec elle.
Sovieshu se souvient aussi des paroles de Rashta, qui disait que Glory était la fille de l’empereur. Il s’en veut de n’avoir pas protégé sa fille, elle était si petit et fragile.
Navier est morte. Glory est morte. Tout est vain. Il est si triste, en colère et frustré qu’il se cogne plusieurs fois la tête contre le mur.
Les secrétaires en voyant cette automutilation tentent d’arrêter leur empereur. Mais Sovieshu les repousse et continue de se faire mal. Il demande qu’on retrouve sa fille encore et encore. Personne ne sait plus quoi faire face aux agissements de l’empereur.
Sovieshu se calme enfin. Le marquis retire les vêtements de Glory des bras de l’empereur et les caches. Plus tard Sovieshu se réveille, les yeux gonflés. Troublé, à moitié fou, il semble que le tableau de Navier et de Glory fusionne en un. Il voit devant lui, sa famille parfaite, sa femme et sa fille. Il appelle Navier et Glory. Leur demande de l’aide. Il se rappelle alors que Navier a eu un accident. Elle est sûrement morte.
Il pleure encore plus, le monde devient flou. Sovieshu appelle Glory, lui demandant où elle est ? Il pense que son bébé a certainement peur, sans Verdi et son père.
De nouveau, il demande de l’alcool. Sovieshu boit encore et encore. Il voit soudainement Navier. Il commence alors à parler à cette illusion. Puis, le mirage disparaît et apparaît derrière une fenêtre. Sovieshu s’avance et s’excuse plusieurs fois. Il voit ensuite Rashta recouverte de sang. Celle-ci pointe Navier en bas. Sovieshu est terrifié. Rasta franchit alors de la fenêtre pour s’écraser sur Navier.
Sovieshu hurle et saute par la fenêtre.