Voici les résumés des chapitres 178 à 182 de Remarried Empress.
Chapitre 178
Face à la nouvelle, Sovieshu demande où était le document. Le marquis Karl répond qu’il était dans la chambre du duc Ergi. Tout le monde dans la pièce est étonné. Le document était cousu sous un tapis, le cachant à la vue de tous. Le marquis trouve ça bizarre que le duc Ergi est dissimulé un document aussi dangereux. S’il aimait vraiment Rashta, il l’aurait détruit. Il est sûr qu’il le gardait pour en faire mauvais usage plus tard.
Après vérification, il s’est avéré que le papier est authentique. Sovieshu se demande où est le duc Ergi. Mais personne ne le sait. Cet homme a juste dit qu’il reviendrait. Sovieshu déclare que dès que le Duc Ergi revient il le renverrait dans son pays d’origine. S’il n’accepte pas, il ira jusqu’à demander de l’aider du roi de Blue Bohemian.
Puis Sovieshu demande à fixer une date avec le temple pour le test de paternité. Ses deux secrétaires partent. Sovieshu va voir sa fille et il la prend dans ses bras. Il lui demande si elle est sa fille. Aussitôt, il se rassure, en se disant que c’est le cas.
Le vieux Duc Zmensia est en colère. Depuis l’incident avec son petit-fils, son fils n’arrête pas de défendre l’empereur Heinley. Il critique aussi un peu Christa. Son fil continu en disant qu’il faut tourne la page. Le décès de Christa est triste, mais sa famille doit maintenant aller de l’avant et abandonner sa rancune.
Bien sûr, ces belles paroles rendent fou le vieil homme, qui se met à crier. Il soupçonne Heinley d’avoir provoqué l’accident. Les deux hommes commencent à se disputer. Le vieux duc trouve que sa famille est stupide. Mais étant la seule qui lui reste, il ne peut qu’être contrarié.
La date pour le test de paternité est fixée. Entre-temps, personne ne se pose des questions sur la disparition biologique du père de Rashta. Au contraire, les nobles voient dans ça, un signe que cet homme était un escroc. Il doit être à la recherche d’un nouveau pigeon à plumer.
Quant à Rashta, elle reçoit plein de lettres de Allen, qui lui explique que son fils a disparu. Comme Rashta ne répond pas, il a décidé de venir lui-même à sa rencontre.
En réponse, Rashta met Allen en prison. Au bout d’un moment, Rashta veut le faire sortir, mais Sovieshu refuse. Il est content de l’avoir sous le coude jusqu’au test de paternité.
Au retour des nobles de l’anniversaire de Heinley. Le comte Pirnu court vers Sovieshu, pour lui informer que Heinley portait à la fête le collier « les larmes de la fée ». L’homme continue en disant qu’il l’a vérifié plusieurs fois. Il est sûr que Navier a offert ce collier à son mari. Sovieshu sur le coup, a envie de tuer Heinley. Il est frustré.
Puis, il apprend une autre mauvaise nouvelle. Le grand-duc Riltheang a eu un accident. Sovieshu demande plus de détail. C’est là qu’il apprend qu’un enfant a été poussé dans l’eau. La première réaction de Sovieshu est de savoir si le jeune garçon va bien. Puis il demande qu’on laisse le grand-duc se débrouiller seul. Il est la honte de l’empire.
Puis avant que le comte parte, Sovieshu lui confie une lettre qu’il faudra remettre à Heinley.
Chapitre 179
Heinley, en lisant la lettre, dit à McKenna que Sovieshu veut tout ce qu’il a. Sa femme, ses bijoux, ses sorciers, son enfant. Il en rit presque.
Puis McKenna dit que l’enfant à naître sera sûrement puissant. N’a-t-il pas déjà deux bateaux alors qu’il n’est pas encore né. Heinley se demande même s’il ne devrait pas lire des livres de guerres pendant l’éducation prénatale. Pour McKenna, Navier n’accepterait sûrement pas. Mais Heinley continue en disant qu’il n’a qu’à le faire en secret quand Navier dort.
Heinley a maintenant rendez-vous avec la délégation de Whitemond, pour parler de ce dont il a convenu avec Navier. Whitemond a envoyé sa princesse, du nom Chalet pour être le porte-parole du pays.
Tout se passe bien lors des négociations. Les nobles félicitent même le travail de Navier. Puis un ambassadeur de Whitemond annonce qu’il veut fêter ce traité en proposant un mariage. Les nobles se taisent et fixent Heinley. Tout le monde se demande si la princesse deviendra la concubine de Heinley. Un chevalier, fidèle à Navier, en entendant ça court en secret vers la chambre de l’impératrice.
Il annonce la nouvelle à Navier. Les femmes des chambres sont choquées, ainsi que Navier. Le cœur de Navier bat la chamane. Tout le monde la rassure, disant que Heinley va sûrement la refuser. Navier n’aime pas cette situation. Elle décide de venir vérifier par elle-même et se fait guider jusqu’à la réunion.
Quand elle arrive, beaucoup de gens l’applaudissent. Ils la félicitent pour son travail. La princesse s’approche de Navier et la salue poliment. En la voyant, Navier a mal. Son cœur est douloureux. Elle a du mal à respirer. Navier voit Heinley venir vers elle, le visage raide. Elle se demande s’il s’en veut.
Navier salue la princesse. Celle-ci lui parle du mariage et lui demande l’autorisation. À cette question, les doigts de Navier tremblent. Elle commence à aller mal.
Puis la princesse lui demande l’autorisation d’épouser… Sir Koshar, le frère de Navier.
C’est le jour du test de paternité. Beaucoup de gens trouvent bizarre que le vicomte Iscua et sa femme ne soient pas là. Mais grâce à l’excuse de chercher leur autre fille, le couple arrive à éviter l’événement.
Rashta voit alors sa fille et remarque qu’elle a grandie. Elle demande à Verdi, devenu la nounou de Glory, si elle croit que la princesse n’est pas la fille de l’empereur. Verdi répond qu’elle est sûre que l’enfant est de l’empereur.
Rashta monte dans le chariot et part vers le temple. Arrivée devant le bâtiment, elle est confiante. Puis, elle semble voir le duc Ergi derrière des piliers. Mais elle n’est pas sûre. Rashta va voir de plus près, mais ne trouve qu’un prêtre. Elle trouve ça bizarre. Mais décide de l’ignorer. C’est peut-être juste son imagination.
Le test va bientôt commencer. Glory en voyant Rashta réclame sa mère, ce qui fait, presque pleurez, Rashta. Le prêtre explique la procédure. Sovieshu remet la princesse à un prêtre. Puis il sort un poignard, et coupe le bout de son pouce. Puis, il laisse tomber quelques gouttes de sang sur une assiette vide. Sovieshu fait pareil avec la main de Rashta.
Alors que le sang se mélange, le prêtre verse un liquide clair. Puis, il fait saigner la princesse qui fond en larme. Sovieshu se sent mal en voyant Glory pleurer.
Le sang de l’enfant se mélange à celui de ses parents. Si le sang devint clair et disparait, ça veut dire que l’empereur et Rashta sont les parents de Glory.
Malheureusement, le sang reste sombre et épais. Le prêtre en voyant le résultat devint pâle et annonce que Glory n’est pas la fille de l’empereur.
Chapitre 180
Sovieshu est en colère. Quant à Rashta elle affirme que c’est faux. Qu’il faut la croire ! Glory est bien l’enfant de Sovieshu.
Sovieshu demande à faire venir Allen. Alors que les chevaliers l’amènent. Rashta supplie son mari de refaire le test. Pour elle, il y a eu une manipulation. Le prêtre l’arrête en disant que refaire expérience en prenant plus de sang au bébé pourrait le mettre en dangers.
Alors que le bébé pleure, Allen arrive. Sovieshu demande à faire le test avec le sang de l’homme. Le prêtre s’exécute. Rashta refuse de le faire, pleurant toutes les larmes de son corps.
Elle est en colère et déterminée. Le prêtre ne peut pas forcer l’impératrice et regarde Sovieshu. Allen, lui tombe à genoux, disant en pleurant qu’il n’a rien à voir avec la princesse.
Alors qu’Allan dit le prénom de Rashta, celle-ci en colère le frappe au tibia, le faisant saigner. En voyant la scène, il demande aux chevaliers d’immobiliser Rashta. Rashta cri, misérablement, mais le sang est retiré. Il fait de même avec Allen.
Le test révèle que Glory est l’enfant de Rashta et de… Allen.
À cette nouvelle, Sovieshu pose sa main sur ses yeux. On voit des larmes couler le long de ses joues. Les nobles sont surpris, ils sympathisent avec l’empereur.
Rashta continue de hurler que Glory est son enfant. Elle fait même tomber l’assiette pour le test. Les nobles en entendant les jurons de Rashta et en voyant son comportement la jugent. Ils coïncidèrent que Rashta et Allen ont trompé Sovieshu.
Entre les cris de colère de Rashta, les supplications de Allen et la haine de Sovieshu, une voix s’élève. Le duc Ergi apparait avec le premier enfant de Rashta. Il demande si le test est terminé.
On passe à Heinley qui parle avec Navier de la demande de la princesse Chalet. Il explique qu’il ne s’attendait pas à une telle demande. Il s’excuse, car il a bien vu que Navier est venue avec un visage en colère.
Heinley en voyant la panique de Navier, promet qu’il n’autoriserait pas le mariage de son frère. En entendant ça, Navier traite Heinley d’imbécile. Ce qui étonne Heinley.
C’est alors que Navier demande la confirmation de l’amour de Heinley. Il répond sérieusement. Navier continue en disant que c’est pareil pour elle. Puis soudainement, elle se tait.
Heinley, lui demande ce qu’elle voulait dire. Navier joue l’ignorante. Mais comme Heinley insiste, elle doit avouer.
Oui ! Elle aime Heinley !
Quand elle lui dit, je t’aime. Heinley se fige, le visage vide.
Chapitre 181
Allen en voyant son enfant dans les bras du duc Ergi veut le reprendre. Mais il est arrêté par les chevaliers. Sovieshu demande au duc ce qu’il fait ici. Celui-ci répond qu’il est ici pour rendre l’enfant, qu’il avait à charge, à ses parents.
Sovieshu fait signe de relâche Allen. Celui-ci court récupérer son enfant. Rashta ne comprend pas ce qu’il se passe. Le duc Ergi n’a pas fait ce qu’elle a demandé. Troublée, elle continue tout de même de supplier Sovieshu. Mais l’empereur est si en colère, qu’il n’entend plus rien.
On apprend que Sovieshu croyait sincèrement que Rashta était pure et douce. Mais en voyant ses manigances, il était très déçu. Pourtant, il avait toujours sa fille. Mais, maintenant ce n’est plus le cas.
Il se demande même si elle ne jouait pas avec lui dès le début.
Un noble demande à tester le garçon, pour vérifier que Rashta a bien trompé l’empereur depuis longtemps. D’autres nobles le suivent. Rashta a envie de crier que Sovieshu l’a accepté en sachant qu’elle avait déjà un enfant, et qu’elle était une esclave. Toutefois, elle le sait, personne ne la croira.
Les nobles continuent de cracher sur Rashta. Disant que maintenant ils sont désolés pour Navier.
Rashta redemande à refaire le test. Sovieshu refuse. Rashta dit que le résultat est insensé.
Il demande au prêtre de faire le test de paternité du garçon. Puis il part, jugeant qu’il n’a pas besoin de voir ça. Alors que les chevaliers forcent Allen et Rashta. Verdi suit Sovieshu, qui ne la rejette pas. Il regarde juste tristement son ancienne fille.
Alors qu’elle est dans un autre carrosse, Verdi étreint Glory. Elle lui promet de la protéger. Pour elle, Glory sera toujours une princesse.
Ceux du palais en voyant la tête de Sovieshu et de Verdi ont compris le résultat du test. Il devait être négatif. Les gens se rassemblent, spéculant sur l’avenir de Rashta et de la princesse.
Sovieshu, triste et en colère, va directement vers son bureau. Il noie son chagrin en travaillant comme un fou. Mais quelques heures plus tard, on lui annonce que le garçon est bien le fils de Rashta et de Allen. Cette nouvelle le fait s’effondrer de tristesse.
La nouvelle du test de paternité n’a pas encore atteint les oreilles de Navier et Heinley. De toute façon, celui-ci s’en ficherait. Sa tête est remplie de la confession de Navier. Il est heureux au-delà des mots.
Heinley informe McKenna que Navier l’aime après un quiproquo. Il dit qu’il a hâte de dire à son enfant qu’il s’est marié avec Navier par amour.
C’est alors que Heinley demande à son ami s’il n’a pas l’intention de se marier. McKenna ne répond pas et rit de manière embarrasser. Puis, il change de conversation parlant du duc Zmensia qui a combattu son fils. Heinley répond en souriant, qu’il faut continuer. Le vieux duc doit devenir de plus en plus en colère.
Mckenna sort du bureau de Heinley et voit dans le jardin Kafmen. Il va le saluer, lui demandant s’il va bien vu son expression. Kafmen rit froidement. En fait, Kafmen n’est pas bien, car il entend beaucoup de gens pensés à Navier. En voyant que Kafmen ne veut pas parler, McKenna part.
Triste et bouleversé, Kafmen ferme les yeux. C’est alors qu’il entend la voix de Navier au loin. En une seconde, son nuage noir disparaît pour faire place au soleil.
Kafmen en voyant Navier fuit au loin. Navier se dit qu’il a sûrement entendu dans sa tête ses pensées remplies de Heinley. Elle se sent mal que cet homme sombre à cause d’elle. Maintenant qu’elle en a fait l’expérience, elle sait à quel point c’est douloureux.
Master gronde Kafmen. Rose fait alors la réflexion que depuis peu elle est très agressive. Elle se demande si c’est à cause des fiançailles de Koshar avec la princesse.
Chapitre 182
Bien sûr Master se défend, disant que cette histoire n’a rien à voir avec elle. Elle continue, en disant qu’elle aime les hommes forts, ce qui n’est pas le cas de Koshar qui est faible. Toutes les bonnes disent que la famille de Master est bonne, donc elle peut se marier avec le frère de Navier. Navier répond que c’est à son frère de choisir.
Le soir même, Navier pose la question à son frère. Il répond qu’il n’est pas intéressé par le mariage. Mais s’il n’a pas le choix, il le fera. En plus, avoir comme femme la princesse Chalet est plutôt bien.
Toutefois, il est triste de devoir obligatoirement vivre dans le pays de sa femme. Il aurait voulu voir son neveu/nièce plus souvent. En plus, il préférait être libre.
Après le départ de son frère, Heinley vient lui rendre visite avec son plat préféré. De nouveau, ils roucoulent. Navier avoue que depuis qu’elle a avoué son amour elle se sent mieux plus légère, plus confortable. Impulsivement, elle demande à Heinley s’il veut faire une balade.
Main dans la main, Heinley et Navier marchent éclairés par une lanterne. Heinley, demande alors à Navier depuis quand elle l’aime. Elle demande alors pourquoi il veut savoir. Il répond qu’il veut le noter dans son journal. Elle refuse encore plus. Heinley lui demande pourquoi. Elle répond que les journaux de l’empereur sont conservés au fil des années (Navier est vraiment très timide).
On apprend que Navier a compris son amour pour Heinley quand elle a cru que la princesse Chalet serait sa concubine.
Navier lui a son tour demande à Heinley quand il l’a aimé. Il répond qu’il est tombé amoureux plusieurs fois. Navier lui demande d’en citer deux. Heinley répond :
– Tu as été la première femme à m’avoir menti.
– Tu as été la première femme à me frapper les fesses. (Dans sa forme oiseau)
– Tu as été la première femme à m’avoir donné un insecte. (Toujours dans sa forme oiseau)
Heinley demande la même chose. Navier répond : tu as le premier homme à qui j’ai menti. Tu as été le premier homme que j’ai giflé. Tu as été le premier homme que j’ai nourri d’insectes.
Heinley répond avec le sourire qu’il était enfin de compte destiné l’un à l’autre. Navier éclate de rire. Alors que Navier est heureuse, elle se demande si l’homme qui l’a abandonné l’est également.
Sovieshu est malheureux. Glory n’est pas sa fille et ne pourra pas être une princesse. Bien sûr Sovieshu pourrait l’adopter. C’est une option. Mais il est tellement dévoré par la colère qu’il n’a pas le désir de le faire.
Sovieshu ne veut plus voir Glory, car son visage lui rappelle Rashta. Pourtant, il l’aime toujours et la garde dans une pièce pas loin de lui avec Verdi. Son cœur est emmêlé par les émotions. Il aimerait que Navier soit là pour lui parler.
Finalement, le cœur rempli de douleur, il va voir le portrait de Navier. Il pense à elle. Comment il ne l’a pas écouté.
Quant à Rashta, elle souffre encore plus que Sovieshu. Elle sait enfin le vrai visage du duc Ergi. Elle n’accepte pas que Glory ne soit pas l’enfant de Sovieshu. Pour elle, c’est illogique.
Soudainement, elle se souvient de sa fille. Elle veut savoir comment elle va. Si l’empereur ne lui a pas fait du mal. Elle questionne les bonnes pour savoir l’état de sa fille. Mais personne ne lui répond. Pire, on se moque d’elle. Rashta se retrouve à se disputer avec le personnel. Au point de frapper une bonne. C’est alors que le duc Ergi apparaît dans la chambre de Rashta. En le voyant, toute la rancune de Rashta revient en elle. Elle le traite aussitôt de mauvais garçon.