Voici les résumés des chapitres 183 à 185 de Remarried Empress.
Petite parenthèse, sachez que je vais résumer trois chapitres au lieu de cinq.
Pourquoi ?
C’est simple, mon problème aux yeux n’est pas réglé. Néanmoins, je veux toujours poster mes spoilers. J’ai donc dû faire un compromis en diminuant mon temps sur l’ordinateur. Donc jusqu’à ce que mes yeux aient mieux, je ferais que trois chapitres. Par contre, dès que je suis guérie, je reviens de nouveau à cinq chapitres.
Bonne lecture.
Chapitre 183
Rashta regarde le duc Ergi en pleurant. Toutefois, elle a une légère attente. Peut-être qu’encore une fois le duc la sauvera, que tout ça est un mensonge. Rashta lui demande alors pourquoi il a fait ça. Mais le duc ne répond pas et tente de changer le sens de la conversation.
Puis le duc Ergi ouvre un sac avec plein de papiers que Rashta a signés. Le duc demande à Rashta de rembourser l’argent et de tenir sa promesse.
Rashta pleure de nouveau, lui demandant encore une fois pourquoi il a fait ça, alors qu’ils sont amis. Le duc répond que l’amitié n’est rien par rapport à l’argent. Elle répond que de toute façon il n’y a pas de date limite, qu’elle n’a pas à le rembourser maintenant. Il répond que c’est vrai. Néanmoins, il ne serait pas là, si elle occupait encore le poste d’impératrice.
Rashta est choquée et comprend où veut en venir le duc. Elle s’est fait avoir. Le duc rit en disant que beaucoup de gens ne comprennent pas avant la fin. Il continue en disant qu’elle devrait le savoir, il est un être méchant et sale.
Rashta lui demande de nouveau pourquoi il a fait ça. C’est important pour elle de savoir pourquoi. A-t-elle fait quelque chose de mal ? Le duc Ergi ne répond pas, disant qu’elle devrait s’inquiéter d’autre chose.
Puis, il conclut qu’elle ne pourra sûrement pas le rembourser. Il devra donc voir l’empereur.
Rashta a le cœur brisé, d’autant plus qu’elle croyait au duc Ergi. C’est plus douloureux que quand elle a appris que Sovieshu aimait toujours Navier.
Rashta repose sa question en pleurant. Doucement, le duc Ergi lui dit : tu es si curieuse. Pourquoi fais-tu ça ? Pourquoi fais-tu ça ? Je sais ce que ça fait. C’est vraiment injuste si vous ne savez pas pourquoi. Le simple fait de savoir pourquoi ne change rien. Mais si vous ne connaissez pas la raison, c’est plus injuste. (Je mets directement la phrase, pour montrer la mentalité du duc).
Rashta le regarde horrifier. Elle ne comprend pas ce que veut dire ce fou. Puis Rashta frappe le duc sur sa joue qui saigne. En réponse, le duc sourit. On dirait un démon.
Le duc dit quelque mot à Rashta. Celle-ci s’effondre, pleure et rit en même temps.
Le duc Ergi va directement vers Sovieshu. L’empereur n’est pas très content de le voir. Le duc Ergi lui montre aussitôt les documents. Au fur et à mesure que Sovieshu les lit, ses yeux s’écarquillent. Le duc finit en disant que c’est tout l’argent emprunté par Rashta. Mais il est surtout là pour le port.
Le duc de la Liberté, ancien allié du marquis de Ketron, vient rendre visite à Navier pour lui parler. Au bout d’un moment, il lui demande si elle a une mauvaise relation avec Rashta. Navier est étonnée que Rashta devienne le sujet de conversation. Puis le duc sort une mystérieuse enveloppe de sa veste.
Chapitre 184
Dans cette lettre, Navier lit que la raison de son divorce avec Sovieshu, c’est qu’elle était stérile. Navier voit rapidement que la lettre a été écrite par Rashta. Le duc explique qu’il ne sait pas pourquoi Rashta a envoyé une telle lettre. Le duc tente de recoller les morceaux avec Navier en montrant sa bonne foi à travers cette lettre. Il ne l’a pas utilisé et il l’a en plus donné à Navier. Celle-ci comprend très bien ce qu’il veut faire.
Puis, le duc lui demande une faveur par rapport à Lady Nian. Son fils est amoureux de Nian et ça le préoccupe beaucoup.
C’est la nuit, Navier raconte de ce qu’elle a parlé avec le duc à Heinley. Heinley demande à Navier ce qu’elle va faire de la lettre. Elle répond qu’elle va la renvoyer. Elle pense même déposer une plainte officielle. Heinley est d’accord avec sa femme.
Navier s’endort, jusqu’à ce qu’elle soit réveillée par des chuchotements. C’est Heinley qui lit un livre à voix haute au ventre de Navier. Elle l’écoute de plus en plus attentivement, comprenant qu’il lit un texte sanglant. Heinley agrémente chaque paragraphe de conseil.
Ne le supportant plus, Navier appelle Heinley. Pris en flagrant délit, Heinley se fige et cache le livre dans ses bras. Toutefois, le titre est visible : Biographie de la guerre d’Old Lago.
Le duc Ergi est parti, laissant Sovieshu seul avec ses pensées. Il pouvait rembourser les emprunts, le pays est riche. Mais le problème est le port. Ce serait stupide de le donner. Mais il ne peut pas refuser. Il ne peut même pas invalider ces documents. Si le duc Ergi ne veut pas revenir là-dessus, Sovieshu va devoir demander l’aide de l’Union continentale de la Lune. Mais si c’est le cas, tous les pays voisins seront au courant de l’histoire. Alors tout le monde se moquera de la dignité de la famille impériale.
Sovieshu est en colère, se demandant si Rashta n’est pas folle d’avoir signé un tel papier.
Puis, il fait venir un de ses secrétaires. Il demande à voir le vicomte Rotesse.
Le vicomte Rotesse a découvert que sa fille a été attaquée dans une ruelle. Il se demande bien pourquoi quelqu’un ferait ça.
Le vicomte repense aux événements avec Rashta. Il trouve aussi que c’est bizarre que la fille de Rashta ait comme père son fils Allen. Il aimerait refaire le test de paternité, mais pour cela il faut de l’argent.
Le vicomte retourne au palais impérial et se fait intercepter par des chevaliers. Ceux-ci le guident vers le bureau de l’empereur. Sovieshu lui demande s’il sait où est sa fille. Le vicomte ne sait pas quoi dire. Sovieshu lui explique alors que sa fille a été kidnappée par Rashta pour être vendue comme esclave et qu’il l’a sauvé.
Le vicomte est en colère et également étonné. Il demande à Sovieshu pourquoi il lui parle de ça, alors qu’il est le père d’Allen. L’homme qui l’a trompé avec Rashta.
Sovieshu explique que de toute façon lui et Allen allaient être exécutés. Sovieshu sourit, continua en lui demandant si le vicomte veut sauver les deux restants.
Chapitre 185
Le vicomte Rotesse part du bureau de l’empereur. Il comprend que Sovieshu parlait de sa fille et de sa femme. Il aimerait sauver son fils Allen, mais il sait que c’est impossible.
Alors qu’il marche, il croise le Marquis Paren, qui commence à ennuyer et ridiculiser le vicomte.
Après que Navier est pris Heinley sur le fait. Elle commence à le gronder. Heinley tente de l’apaiser en utilisant sa beauté. Navier le trouve mignon, mais ne cède pas.
Navier demande à Heinley pourquoi il lit un tel livre. Heinley explique qu’il veut que son enfant soit courageux, car il trouvait que l’oiseau dans son rêve était un peu faible. Navier rétorque que pour elle le petit poussin était mignon et adorable. Elle lui dit que d’avoir un enfant courageux n’est pas un problème, mais il devrait apprendre à filtrer certaines scènes. Heinley répond que son bébé doit apprendre la réalité de la guerre.
Navier se met en colère, et éjecte Heinley de la chambre. Elle explique qu’elle apprend à son enfant que papa peut être puni après avoir fait de mauvaise chose.
Heinley discute avec McKenna de ce qui vient de ce passé. McKenna se range du côté de Navier, disant que le sujet de la guerre est dangereux pour un enfant. Il lui dit même : tu ne vas pas donner un couteau à ton bébé et lui dire de tuer quelqu’un ? Heinley répond par : est-ce mauvais ? McKenna a la même réaction que Navier et veut faire sortir Heinley de la pièce.
Heinley se défend en disant que dès l’âge de cinq ans il jouait avec des épées. McKenna lui rappelle que l’ancienne reine le punissait justement à cause de ça. Les deux hommes continus de se chamailler amicalement.
C’est alors que le vieux duc Zmensia voit cette scène. Il est en colère de voir Heinley heureux, alors que sa fille Christa est morte. Il part en promettant qu’il fera tout pour que l’ennemi de sa fille soit malheureux, quitte à en mourir.
En sortant du palais, le vicomte Rotesse court vers l’endroit où sa fille a été cachée. Lebetti est heureuse de revoir son père et le serre dans ses bras. En voyant sa fille en bonne santé, le vicomte pleure de joie, mais très vite ses larmes changent, devenant celles de la tristesse.
Au changement d’atmosphère, Lebetti est surprise. Elle demande ce qui se passe. Mais son père ne répond pas. Lebetti raconte ensuite ce qu’elle a vécu, tremblant un peu de peur. Lebetti est en colère contre Rashta, disant qu’il faut contre-attaquer.
Le vicomte calme sa fille, lui disant qu’il a quelque chose d’important à dire. Il lui raconte toute l’histoire, et lui dit qu’il est un mauvais père. Lebetti est confuse. Il lui explique l’histoire avec la fille de Rashta et d’Allen. Lebetti ne comprend pas. Le vicomte continu en disant que lui et Allen seront punis. Lebetti comprend enfin que l’affaire est grave et devient pâle.
Son père continue en disant qu’il ne restera qu’elle et sa mère. Qu’elle doit prendre soit de sa maman et retourner au domaine. Il continue en disant que tout est sa faute. Qu’il savait tout (il lui ment). Si on lui pose la question, elle devra dire que son frère et son père étaient des hommes terribles et méchants. Qu’elle ne savait rien, car elle était en mauvais terme avec eux.
Lebetti est triste, disant qu’elle va voir l’empereur pour défendre son père. Pour elle toute cette histoire est fausse. Lebetti change sa tristesse en colère. C’est la faute de Rashta. Elle a utilisé son frère et son père pour leur jeter la faute.
Le vicomte s’éloigne de sa fille pour tenter de la calmer. Puis, il serre le poing. Il est déterminé à amener avec lui Rashta jusqu’en enfer.