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Alter Reality Chap.12 : Un besoin d’energie P.2

Voici le chapitre 12 du tome 1 de mon Light Novel Alter Reality.
Toutes les semaines, un chapitre sera posté. N’hésitez pas à donner votre avis.


Je n’aurais jamais cru que Jimmy était un informaticien travaillant pour la compagnie Alteria. Cette entreprise est composée de l’élite des programmeurs, je n’imaginais même pas le niveau de Jimmy.

Je fus surprise qu’il ait le droit de nous parler des Altereurs. Ce n’était pas un secret, mais le directeur de la compagnie était très discret. Au point que personne ne sache comment marche sa technologie, même le brevet était codé.

En plus, personne ne connaissait le visage de cet homme. Il n’avait jamais fait d’apparition publique, il était juste connu sous un pseudonyme : A.S.

Il ne semblait pas rechercher la gloire, ce qui était douteux.

Tout le long du trajet, personne ne parla, réfléchissant sûrement aux révélations de Jimmy. Personnellement, je digérais encore les informations. Ces ondes, ces monstres, les Altereurs. Beaucoup trop de choses avaient l’air connecté, sans l’être vraiment. Comme s’il me manquait les pièces d’un puzzle pour comprendre l’ensemble.

Grâce à William, nous apprîmes qu’il y avait un hôpital pas loin de nous. Étonnamment, il connaissait l’emplacement de chaque bâtiment médical de la région.

Il fallut toute une matinée pour arriver devant l’hôpital. Il n’avait rien à voir avec ces immenses immeubles médicaux que l’on trouvait au centre-ville, avec plusieurs parkings pour hélicoptère ou drone. C’était plutôt un hôpital moyen. Il était assez grand pour avoir son propre service d’urgence, mais pas assez pour avoir des véhicules volants.

Le bâtiment avait toujours sa façade en pierre typique du vieux quartier. Sauf que ses portes d’entrée étaient en verre. Il avait aussi un grand parking pour les visiteurs et un autre qui descendait sous terre pour les ambulanciers. L’hôpital avait également deux vitraux illustrant des métiers médicaux, et qui se trouvaient au-dessus d’un écriteau.

Malheureusement pour nous, le portail vers le parking souterrain était fermé. Comme nous ne pouvions pas soulever l’énorme rideau de fer, nous nous sommes rabattus sur les portes d’entrées. Étant en verre, elles furent facilement brisées.

À l’intérieur, nous vîmes l’étendue des dégâts. Autant à l’extérieur rien n’indiquait une attaque quelconque, autant le rez-de-chaussée racontait une autre histoire.

L’accueil était complètement en miettes. Les murs étaient recouverts de griffures, et le sol de gravats. Mais ce qui nous fit frissonner d’effroi était le sang. Il y en avait partout. Il était sec depuis un moment, mais il témoignait de la violence qui avait eu lieu.

Debora trembla en regardant autour d’elle.

— Qu’est-ce qui sait passé ici ?

Bouleversée, je fixai les taches de sang.

— Je ne sais pas, mais quelque chose ou quelqu’un a attaqué…

Alex perplexe regarda les alentours, à la recherche d’un signe de vie.

— Vous croyez qu’il reste des survivants ?

— Vu les dégâts… Je ne crois pas.

Avec ses yeux froids, William répondit à Alex.

Je m’avançai vers le premier ascenseur, mais les portes étaient déterminées à rester fermé. Quand Alex et Vick ouvrirent le deuxième, il donnait dans le vide. Le tambourinage insistant de Debora sur les boutons d’appel ne résolut pas le problème.

Nous n’avions pas le choix, il fallait emprunter les escaliers. Heureusement, ils ne furent pas difficiles à localiser, il suffisait de suivre les bandes de couleurs sur les murs.

Plus nous descendions, plus air devenait irrespirable. Un mélange de moisissures et de renfermé volait dans les environs, empoissonnant l’atmosphère. Personne ne parlait de peur d’en inspirer. C’était tellement insupportable que j’étais à deux doigts de me pincer le nez.

Après, ce qui semblait être deux étages, nous arrivâmes devant une porte entrouverte, la poignée était cassée, pendouillant dans le vide. La surface blanche était tapissée d’empreintes de main rouge, n’invitant pas vraiment à l’ouvrir.

Alex la poussa avec prudence, puis il nous fit signe de le suivre. De l’autre côté se trouvait un long couloir sombre, la seule source de lumière venait de quatre bandes fluorescentes au sol. Chacune indiquait un lieu : le laboratoire de recherche, la morgue, le parking et la pièce de stockage. Notre but était la dernière salle, celle où notre groupe électrogène devait normalement être entreposé.

Plus nous avancions, plus quelque chose me semblait bizarre. J’avais un mauvais pressentiment, chaque pore de mon corps me criait de fuir. Mes tripes se crispaient à chacun de mes pas. Pourtant la zone était vide, il n’y avait aucun signe d’être vivant. Le seul témoignage d’une ancienne existence était le sang qui recouvrait presque chaque mètre carré du couloir.

Pourtant, je le sentais. C’est un peu la même sensation que quand on visite une vieille maison. On n’est pas sûr qu’elle soit hantée. Pourtant dès que l’on rentre à l’intérieur, on ne peut pas s’empêcher de vouloir sortir. J’espérais que c’était une fausse alerte.

Après quelques mètres, une des bandes disparue sous une porte. Une pancarte avec les mots « Laboratoire de recherche » était apposée dessus.

— Nous ne sommes sûrement pas loin de la pièce de stockage.

William regarda brièvement la porte, avant de continuer son chemin. À mon tour, je la fixai. Elle était dans un sale état, je n’osais même pas imaginer la pièce de l’autre côté.

Un peu plus loin, notre groupe rencontra un reptile aux écailles pourpres. C’était un Laggi. Il était seul et nous observa. Il avait l’air aussi étonné que nous de voir des visiteurs. Son corps était recouvert de blessures et de sang. Il n’avait pas l’air en bon état. Se sentant en danger face à nous, il fit un petit jappement avant de disparaître dans les ténèbres.

Une chose est sûre, s’il y en avait un, c’est que la meute n’était pas loin.

Alex arrêta tout le monde avant de nous avertir.

— Activez votre Altereur, nous allons peut-être devoir combattre sous peu.

Je me retrouvai encore armé de mes deux lames de Monster Killer. Secrètement, j’espérais que nous trouverions vite une console et un groupe électrogène pour changer d’armement. Ce n’est pas que je détestais mes deux armes. Mais j’avais envie de m’équiper de ma grosse épée, de mon katana ou d’un de mes rares arcs.

Nous arrivâmes finalement au bout du couloir. Où, un autre escalier se présenta à nous. Deux bandes avec les inscriptions : parking et pièce de stockage, nous indiquèrent que nous étions sur la bonne voie.

Sans attendre, nous descendîmes, pour nous retrouver encore dans un couloir, celui-ci semblait plus petit. Il était aussi dans un sale état, mais bien pire que celui d’en haut. En plus du sang, il y avait des gravats partout, ainsi que des marques de griffures. Mais le plus horrible restait le sol, il était jonché de morceaux non identifiés. Vu l’odeur et le bruit quand nous marchions dessus, j’aurais parié sur de la chair. Toutefois, je ne savais pas si c’était humain ou pas. Je décidai de ne pas vérifier.

Plus loin se présenta un énorme cadavre. Il était à moitié enseveli sous des décombres. Juste en voyant sa tête je pus l’identifier, c’était un Grand Laggi. Mais il était dans un piteux état.

Son corps était recouvert de cicatrices. Sa grosse mâchoire était à moitié fondue, montrant les os de son crâne. Une des pattes arrière semblait être brisée à plusieurs endroits.

Je ne savais pas ce qui lui avait fait ça. Mais c’était certainement une créature puissante. J’espérais que nous n’allions pas la croiser.

Nous continuâmes notre chemin pour arriver devant une porte en métal. Des énormes impacts marquaient la structure, on pouvait presque croire que la porte était pliée à certains endroits. Sur le dessus était écrit en lettres noires « Parking ».

Alex l’ouvrit et fit disparaître sa tête de l’autre côté.

— C’est bon ! On peut y aller !

Il ouvrit la porte avec difficulté, elle grinça affreusement. Discrètement, nous entrâmes un par un. L’intérieur était immense et sombre, au point qu’on ne voyait pas l’autre côté. Notre seul guide était la bande au sol. Il ne restait plus qu’à la suivre vers la dernière salle.

Plus nous avancions, plus le décor se dévoilait à nous. Le sol était chaotique, au point qu’il fallait vérifier où nous posions nos pieds, de peur de glisser sur un morceau de viande. Par moment, nous croisions des piliers en béton. Il y avait également des voitures et des ambulances retournées, certaines étaient même aplaties.

Dans ce grand parking, seuls nos pas résonnaient. L’odeur était insupportable. C’était si fort que mes yeux piquaient, m’obligeant à les essuyer avec le revers de mon pull. J’avais hâte de traverser.

D’un coup, Debora se mit à crier de surprise. Sa jambe gauche avait disparu dans un trou, rempli d’un liquide rouge.

— C’est quoi, cette me…

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’Alex mit sa main sur sa bouche. Étonnée, elle le regarda. Aussitôt, Alex lui fait signe de se taire, et lui montra quelque chose à l’horizon.

Perplexe, j’observai où pointait le doigt d’Alex, pour voir à notre gauche une énorme créature. Nous pouvions facilement la contempler grâce à une fissure sur le plafond qui faisait rentrer un peu de lumière.

Elle était immense, dormant paisiblement sur un amas de cadavres humains, de reptiles et d’autres créatures.

Était-ce son repas ?

Ses victimes ?

Peu importe. Vu le nombre de dépouilles, cette chose était dangereuse.

Cette créature ressemblait grossièrement à un dragon. Elle avait deux paires d’ailes noires abîmées. Sa tête était très petite. Sa peau était recouverte d’épaisses écailles gris foncé. Elle avait aussi une longue queue. Par contre, je n’arrivais pas à savoir combien elle avait de pattes. Il me semblait en compter six, mais je n’étais pas sûre.

Ce monstre était déjà pas mal effrayant comme ça, pourtant il y avait un détail sur son corps qui le rendait encore plus terrifiant. Son torse était ouvert en deux. On pouvait voir des côtes en sortir comme des dents acérées.

Ne l’entendant pas ronfler, nous pourrions presque croire que nous avions devant nous un simple cadavre. Cependant, le soulèvement répétait de sa cage thoracique affirmait le contraire.

D’un simple échange de regards, nous prîmes la décision d’avancer discrètement. Nous continuons ainsi à suivre la bande fluorescente. Inquiète, je jetais par moments des coups d’œil en direction de la créature, vérifiant que son sommeil n’était pas perturbé.

Plusieurs minutes passèrent avant d’atteindre une porte en inox. Sur le côté, un panneau sale nous indiqua sa fonction, c’était l’entrepôt de stockage. Vick ouvrit doucement la porte et nous invita à le suivre sans même regarder à l’intérieur. Personne ne se fit prier.

À l’intérieur, je me mis à respirer de nouveau. J’avais l’impression d’avoir couru un marathon. Mon corps était recouvert de sueur froide et mon cœur battait à cent à l’heure.

Enfin calmée, je fixai Vick.

— C’était quoi, cette chose ?

Troublé Vick se mit à réfléchir.

— De ce que j’ai vu, j’ai peut-être une petite idée…

Je le savais, mon frère, l’accroc en jeux vidéo, avait réussi à identifier le monstre.

Peut-être savait-il même comment le combattre ?

— Alors ?

À ma question, Vick grimaça.

— Je ne me souviens plus du nom, mais je sais qu’il était dans un jeu avec le mot « Souls ». C’était un boss, un genre de mangeurs de cadavres. Je ne crois pas qu’il nous attaquera.

Soucieux, le sourcil d’Alex se leva.

— Tu es sûr ?

Hésitant, Vick haussa des épaules.

— Non, désolé.

Je tapotai alors le dos de mon frère.

— Par grave, tu n’as jamais eu la mémoire d’un éléphant.

— Hé !

Je souris à la réaction exagérée de mon frère.

La pièce n’était pas très grande. Presque tout l’espace était occupé par des placards ou des étagères, qui abritaient des accessoires médicaux. Au vu de l’épaisse poussière, l’endroit ne devait pas être visité régulièrement. Nous avions donc une chance de trouver un générateur fonctionnel.

La voix grave d’Alex résonna.

— L’endroit semble être sans danger. Pour aller plus vite, on va se séparer et fouiller les lieux.

Tout le monde approuva et se dispersa.

Je cherchais le groupe électrogène. Je suppose que cet objet devait avoir la forme et la taille d’un moteur. Je ne savais même pas quel type de groupe électrogène un hôpital avait à sa disposition.

À batterie ? Non, d’après Jimmy en cas d’IUM, il serait mort.

À essence ? Je ne crois même plus que ça existe.

Au gaz ? Peut-être… Mais où trouvait cette ressource à notre époque ?

Peu importe, le plus important était de le dénicher. On verrait plus tard pour les détails.

C’est alors que je vis au fond de la pièce, un énorme rectangle enveloppé d’une coque grise. Je m’approchai pour le regarder de plus près. Il était monté sur des roues, ce qui facilitait son transport. Le devant était recouvert d’un écran tactile, de boutons et de prises de différentes formes. La machine avait également un couvercle épais. Sur chaque côté il y avait des tiroirs, mais aussi une inscription en lettrage noir : « Solaire énergie ».

Rien qu’avec ces deux mots je compris que j’avais trouvé ce que nous cherchions.

— Trouvé !

J’entendis au loin William. Lui aussi avait repéré un groupe électrogène. Je m’approchai pour voir la bête.

L’objet était dix fois plus gros que celle que j’avais aperçu. Il était recouvert de métal et n’avait aucune roue. Il devait certainement générer beaucoup d’énergie, mais le déplacer semblait impossible.

— Hmmm…

Perplexe, Alex regarda le groupe électrogène.

— Je ne crois pas qu’on pourra le bouger, il en faudrait un plus petit.

J’acquiesçai, puis toussai pour attirer l’attention.

— Sinon… J’en ai trouvé un, un peu plus long. On peut facilement le déplacer vu qu’il a des roues.

Je pointai la direction. En réponse, Alex me sourit.

— Je te suis.

Arrivés au niveau de la machine, Alex et William l’examinèrent. Alex ouvrit le couvercle qui était en fait un panneau solaire plié. Les tiroirs avaient la même fonctionnalité.

J’avais découvert un groupe l’électrogène marchant à l’énergie solaire. J’aurais dû m’en douter, vu le nom de la machine.

Alex se tourna vers moi tout en tapotant le sommet du générateur.

— Bien jouer Kate ! Il a des panneaux solaires, et il a l’air en état de marche. Il reste plus qu’à rentrer pour tester ça.

Les félicitations d’Alex me firent plaisir.

Debora croisa ses bras, la tête sur le côté.

— Tu es sûr qu’il marchera. Je trouve ça bizarre, que l’hôpital ait un si petit générateur.

En réponse, William s’avança, remontant ses lunettes.

— Certains hôpitaux ont des petits générateurs pour les missions en extérieurs.

William regarda avec dédain l’appareil.

— Vu la couche de poussière…

William passa son doigt sur la coque.

— Il doit être là depuis un moment. C’est sûrement un générateur de réserve, celui qui était utilisé doit être dans une ambulance. Donc, il devrait marcher.

— Bon si tu le dis.

Debora fit un clin d’œil espiègle en direction de William, celui-ci ne réagissait pas. Devant cette froideur, Debora se tourna et leva le poing en l’air.

— Allez en avant ! Direction, la banque !

Tout le monde la suivit, avec le sourire aux lèvres, du moins pour certains.

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Liste de sites pour lire des Webtoon/webcomic

Vous avez sûrement déjà entendu parler des Webtoon aussi appelés Webcomic. Un format de BD asiatique qui commence à venir en France et en Amérique. Elles offrent des histoires aux styles et genre varier. Certaines ont des histoires originales, mais la plupart retranscrivent des romans, surtout coréens.
Mais actuellement, où lire des webcomic en français ? Il n’existe pas beaucoup de sites légaux, toutefois il commence à être de plus en plus nombreux. Certains publient les webcomics gratuitement, d’autres demandent de l’argent. Il faut vraiment choisir par rapport à votre envie, car certains sites ont des catalogues énormes.

Note : La liste n’est pas finalisée, de nouveaux sites feront sûrement leur apparition. Si vous avez des adresses à me proposer, n’hésitez pas à me le dire dans les commentaires.

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Delitoon

Un des premiers sites français de webcomics que j’ai découverts. Il a un énorme catalogue. Au début, il était plus axé sur la romance et les BL, mais maintenant vous pouvez trouver des histoires avec de l’aventure, des combats, de l’horreur. Il y en a pour tous les goûts. Par contre, pour lire ces Bds, il faut acheter des coins, une monnaie virtuelle. Elle n’est pas très chère, mais il y a tellement à lire que vous vous retrouvez vite à court. Heureusement, le site fait beaucoup de promotions. Ce qui permet de se recharger à moindre coût, si vous être patient.

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Verytoon

Un jeune site de Webtoon en français. Son catalogue n’est pas très grand, mais il détient le célèbre Solo leveling. On sent également que le site va vite s’agrandir, donc la liste de Bd va sûrement s’épaissir d’ici quelques mois. La lecture est confortable et les prix sont raisonnables. Vous aurez la capacité de recevoir des coins gratuits sous certaines conditions.

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Webtoon

Un site qui offre la possibilité de lire des webcomics sous différente langue. Vous trouverez un répertoire assez grand même en français, avec des histoires asiatiques ou complètement originales. La plupart des webcomic sont gratuits, très peu demandent d’utiliser le système de coin. Vous pouvez également lire leurs œuvres via une application.

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Webtoon factory

Un site qui met en avant nos auteurs de webcomics européen. On trouve des BD aux inspirations diverses tantôt classiques, tantôt mangas ou comics. L’avantage, c’est de pouvoir lire des webcomics exclusifs. Par contre, il n’y a aucune BD traduite venant du coréen ou du Japon. Vous pouvez lire tout le catalogue gratuitement. C’est un vrai plaisir de découvrir des auteurs de talent.

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Toomics

La plupart des webcomic du site sont traduites du coréen en français, ce qui permet d’avoir un grand catalogue. Vous y trouverez beaucoup de genres différents. Le site permet de lire les premiers épisodes, pour ce faire une idée. Par contre, il faudra acheter des coins pour avoir la joie de lire la suite.

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Yurai editions

Yurai édition est une maison d’édition française, qui publie des webcomics venant de tous les horizons. L’avantage, c’est qu’il faut juste payer un abonnement pour avoir le droit à tout le catalogue, pas besoin d’acheter un à un les épisodes.
Le site est encore jeune, mais son répertoire grossit de jour en jour. Que vous soyez auteur ou lecteur, vous risquez de trouver votre bonheur.

Listes des genres dans les Light Novel et roman asiatique

Il existe dans le monde du Light Novel et du Web Novel plusieurs genres ayant leur propre nom. Vous en connaissez surement certain, surtout grâce au manga. Mais il faut savoir que la chine et la coréen ont leur propre terme qu’on retrouve rarement dans nos romans ou même au Japon.
Voici donc une liste de genre et leur explication que vous pouvez retrouver dans la culture asiatique.

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Shonen

Shonen est destiné essentiellement pour les adolescents et un public masculin. Il est le genre le plus représenté et il véhicule souvent le même type de valeurs tel que la force de l’amitié, la justice, le courage, l’évolution.

Seinen

Seinen vise plus un public adulte. Il reprend la même base que les shonen, sauf que l’histoire est plus complexe et sombre. Étant plus mature, ce type de livre est plus crédible, avec parfois de la violence et de l’érotisme, mais ce n’est pas obligatoirement le cas pour tous.

Shoujo

Shojo, ce terme signifie « jeune fille », il vise un public féminin et jeune. Ces récits abordent des sujets variés et doux, comme l’école, l’amour, la mode, ou un loisir quelconque. Les héroïnes sont souvent des adolescentes ou de très jeunes adultes.

Josei

Josei ou Ladies comics (Redisu komikku) est comme le seinen, mais en version féminin. Ses romans sont destinés aux lecteurs féminins et adultes. Les intrigues y sont plus complexes. Ainsi, les sujets comme être en couple, les relations sexuelles, élever un enfant, sont abordés. Mais également les préoccupations des jeunes femmes modernes comme être célibataire, sa carrière, la famille, les traumatismes, le mariage… Les héroïnes dans ces ouvrages sont souvent des femmes en 25 et 40 ans, avec diverse préoccupation.

Wuxia

Wuxia (武俠wǔxiá) signifie littéralement «héros martiaux». Ces récits racontent l’histoire d’humains ordinaires qui peuvent atteindre des capacités de combat surnaturelles grâce à l’entrainement aux arts martiaux chinois et à la culture de l’énergie interne. Les thèmes de la chevalerie, de la tragédie, de la vengeance et de la romance sont très courants.
Parfois ce genre se mélange avec la transmigration, la réincarnation ou l’isekai.

Xianxia

Xianxia (仙 侠 xiānxiá) signifie simplement «Héros immortels». Ce livre met en avant la magie, les démons, les fantômes, les immortels et beaucoup de folklore/mythologie chinois. Les protagonistes tentent de cultiver l’immortalité, recherchant la vie éternelle et le summum de la force. C’est très inspiré par le taoïsme.

Xuanhuan

Xuanhuan (玄幻xuánhuàn) veut dire « Fantaisie mystérieuse ». Ceci inclus un large genre de roman qui mixe le folklore/mythologie chinois avec des éléments et des décors étrangers.
Les romans Xuanhuan et Xianxia peuvent sembler similaires à première vue. Pour les différencier, il faut rechercher la présence d’éléments taoïstes dans le roman. S’ils ne sont pas présents, alors c’est un roman Xuanhuan.

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Empire Interstellaire

Empire Interstellaire se retrouve surtout dans les romans chinois. L’histoire se passe dans un futur très lointain. La terre fait partie des légendes et le monde est gouverné par un empire, c’est-à-dire qu’il y a des nobles, la royauté et le peuple. Dans ce monde, on voyage de planète à planète via des vaisseaux spatiaux, on se bat également avec des robots géants. Mais une des particularités dans ce genre c’est que les gens naissent avec des capacités classées de F à SSS. Sachez que F est un individu faible, mais plus puissant qu’un humain ordinaire et les SSS sont rares et surpuissants. Bref, ce type de roman est très riche. Il est souvent associé au BL/Yaoi.

Gender Bender

Gender Bender signifie « changement de genre ». Il met souvent en avant une femme ou un homme qui doit changer de sexe pour une mission, s’intégrer ou par plaisir. Le Gender Bender inclut aussi les changements dus à une réincarnation, comme une femme qui renait dans un corps d’un homme. Il inclut les travestis et les transgenres.

Harem/Harem inversé

Le terme Harem se retrouve dans toutes les littératures asiatiques. Il met en avant un jeune homme souvent adolescent qui va conquérir plusieurs femmes venant de différent horizon. Le harem inversé est pareil, sauf que c’est une femme entourée d’homme. Il arrive également que des romans parlent de Harem mixte, où le héros/l’héroïne arrive à avoir dans son harem des femmes et des hommes. Les harems homosexuels sont rarement utilisés dans la littérature, du moins pour le moment.
Le livre peut s’ouvrir à différentes fins, soit le personnage principal fait un choix parmi ses prétendants. Soit tout le monde accepte l’idée du harem ou la fin se finit d’une façon tragique.

Isekai

Un genre très populaire en ce moment dans les Light Novels. L’intrigue consiste à faire voyager le ou les protagonistes dans un monde parallèle souvent marqué par la fantaisie, parfois la science-fiction. Les héros arrivent dans ce nouveau monde par différent pro,cédé, comme la réincarnation, la transmigration, ou en étant simplement invoqués. Le principe reste le même le héros/Héroïne doit survivre dans ce monde, en apprenant ces règles et en rencontrant plusieurs personnages.

Transmigration

La transmigration est apparentée à Isekai. Sauf que ce terme est plus utilisé dans la littérature chinoise et coréenne. Ceci consiste au transfère d’une conscience vers un autre corps. Le héros/l’héroïne n’est parfois pas mort et se réveille juste dans un autre corps ayant plusieurs années d’existence. Le but du personnage principal est souvent de revenir dans son monde d’origine.

Réincarnation

La même chose que la transmigration, sauf que le héros est mort et renait dans le corps d’un nourrisson. Parfois, une divinité peut lui créer un corps plus vieux, mais il est soit un adolescent, soit un jeune enfant.

Système

Ce n’est pas vraiment un genre littérature en lui-même. Mais, le nombre d’histoires chinoises qui utilise « le système » sont très nombreux pour ne pas être cité. Ce genre met très souvent en avant une héroïne et vise un public adulte. L’héroïne est soit réincarnée ou transférée dans un nouveau corps. Elle se voit accompagner par un système, une entité invisible qui peut avoir ou non une personnalité. Celle-ci a comme but de donner des missions à l’héroïne, appellé l’hôte, pour qu’elle gagne des points et les échange contre des récompenses.

Par exemple : L’héroïne doit étudier, avoir les meilleurs notes, pour gagner des points et les échanger contre des compétences.
Cet univers est large et une certaine entente entre les auteurs s’est créée pour utiliser les mêmes règles. Au point, que dans certaines histoires, les systèmes sont vus comme une organisation qui va de dimension en dimension pour aider un hôte. Certains systèmes sont méchants, d’autres bons. Chacun ayant un but, une mission et même un matricule.

Yaoi

Ce terme est utilisé pour parler des romans qui mettent en avant des relations homosexuelles entre garçons. Il peut aussi apparaitre sous le nom de BL, c’est-à-dire boy’s love. Les intrigues abordent tous les genres. Les histoires peuvent être doux allant d’une simple amourette, jusqu’à être axés sur les relations sexuelles. Certains abordent également le problème des homosexuelles d’être accepté par eux-mêmes ou par la société.

Omegaverse

Omegaverse est un sous-genre du Yaoi. Ici les humains ont une structure sociale qui se rapproche du loup. On y trouve ainsi les Alphas, les Beta et les Omega. Les Alpha étant les dominants et les omégas les dominer.

Yuri

Yuri est un terme venant de Yurizoku (famille du Lys). Il est utilisé pour des romans parlant des amours entre filles. Il est comme le Yaoi, ainsi les intrigues abordent tous les genres.

Smut

Smut est un terme utilisé pour les histoires où le seul but est de mettre en place des scènes érotiques, allant parfois jusqu’à la description de l’acte sexuel. Le scénario et l’intrigue sont totalement optionnels dans ce genre de romans.

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Liste de maison d’édition française de Light Novel

Au Japon il existe une ribambelle de maisons d’édition spécialisées dans les Light Novels. Par contre en France c’est autre chose. Ce type de roman a un public, mais n’a pas beaucoup d’éditeurs prés à tenter l’aventure. Mais fort heureusement, il en existe, ils sont peu, mais mérite d’être connu.

Je ne parlerais ici que des maisons d’édition qui travaillent à mettre en avant les Light Novels en France. Je ne citerais donc pas les grandes maisons d’édition qui publient des Light Novels de temps en temps, comme Pika édition, Kurokawa , Kana, Glénat…. Ceux-ci sont plus spécialisés mangas que Light Novel.

Note : Si vous connaissez d’autres maisons d’éditions de Light Novel qui ne sont pas dans cette liste, n’hésitez pas à me le dire pour que je puisse les rajouter.

Ofelbe

Ofelbe est une maison d’édition française, fondée en 2014. Dans le lot c’est la plus vieille maison d’édition spécialisée dans la publication de Light Novels. Elle est connue pour avoir amené en France les romans Sword Art Online et Spice and Wolf.
Actuellement, elle publie de nouvelles licences, ainsi que des coffrets. C’est une maison d’édition assez active, qui je l’espère vivra encore pour longtemps.

Mahô Éditions

Mahô éditions est une nouvelle maison d’édition qui publie des Light Novels et des mangas. Elle met en avant autant des œuvres japonaises que des romans écrits par des auteurs français, comme leur premier Light Novel : Les Enfants de Gorre. Un ouvrage qui suit les codes des Light Novels, avec des illustrations.
La maison d’édition accueille avec joie de nouveaux textes, donc si vous êtes auteurs n’hésitez pas à leur envoyer votre manuscrit.

LaNovel Édition

LaNovel Édition est également une toute nouvelle maison d’édition spécialisée dans les Light Novels japonais. Elle traduit donc des œuvres venant du pays du soleil levant pour nous les proposer en France. Pour le moment, LaNovel se spécialise dans le genre fantastique, science-fiction et policier. Leur premier Light Novel publié est : Infinite Dendrogram. Elle vient d’acquérir récemment : Tantei Ai No Real Deep Learning un Light Novel policier.

Univers Partagés Éditions

Univers partagés éditions était une association à but non lucratif fondée en 2007. Mais depuis 2012, elle est devenue une maison d’édition associative. Elle crée des Light Novels et des romans français au charme japonais. Le genre publié touche plus un public féminin. Cette maison d’édition mérite d’être un peu plus connue d’autant plus que les romans peuvent être lus en français, en anglais ou en japonais.

Fairy’s Hope

Fairy’s Hope est une jeune maison d’édition belge fondée par un auteur de Light Novel. Il a pris l’initiative de monter cette entreprise, à cause du manque de maison d’édition qui met en avant ce type d’ouvrages.
Leur premier Light Novel publié est : Les Loups des Cimes. Malheureusement, aucun nouveau livre n’est prévu pour le moment.

La mise en page du tapuscrit/manuscrit

Vous avez mis le point final à votre roman, il est temps de l’envoyer à une maison d’édition. Mais attention, il faut savoir qu’il y a des règles à suivre, surtout au niveau de la mise en page de vote manuscrit.

Vous pensez sûrement que faire preuve d’originalité pourrait vous faire remarquer par un éditeur. Malheureusement, c’est faux. Une maison d’édition met très vite de côté les textes qui ne suivent pas une certaine mise en page ou qui montrent des couvertures originales pour habiller leur roman.

Voici, les choses que vous devez éviter à tout prix :
– Fournir une couverture avec une illustration ou une photo.
– Envoyer un texte sous forme d’un livre broché.
– Utiliser des polices originales, voire excentriques
– Envoyer un manuscrit imprimé à un éditeur qui n’accepte que des manuscrits par e-mail et vis et versa.
– Imprimer son manuscrit recto verso dans le cas d’un envoi papier.
– Envoyer son manuscrit écrit à la main, au lieu d’être tapé sur ordinateur.

La mise en page du texte

Normalement, les directives de la mise en page pour les manuscrits sont données sur le site internet de la maison d’édition dans les pages nommées « soumission de manuscrit » « À propos » ou « contact ».

Parfois, il arrive qu’il n’y ait aucune explication, dans ce cas il existe une présentation courante, qui est acceptée par presque tous les éditeurs, la voici :
– Mettez votre manuscrit au format A4.
– Utilisez une police lisible comme police Times New Roman (la préférée), Arial, ou Calibri.
– Mettez la taille de la police à 12. Vous avez le droit de mettre un peu plus grand et du gras pour les titres de chapitre.
– Utilisez, un interligne double.
– Mettez des marges (haut, bas, droite et gauche) de 2 cm.
– Mettez le texte en justifier, avec des paragraphes.
– Utilisez des paragraphes qui commencent par un alinéa de 3 à 5 mm.
– Pour marquer les répliques d’un dialogue, utilisez le tiret cadratin.
– Respectez bien les règles de ponctuation classiques ainsi que les espaces sécables et insécables.
– En en-tête, indiquez votre nom, prénom, numéro de téléphone et adresse e-mail
– En pied de page, indiquez le titre de votre livre et le numéro de la page
– Si votre livre comporte des chapitres, créer une table des matières.
– Si des mots ont besoin d’être définis, faites un lexique.

La page de garde

La page de garde est la première chose que verra l’éditeur, elle fait office de couverture. Elle doit être très épurée et avoir que les informations essentielles. Vous devez ainsi indiquer :
– Le titre de votre livre.
– Le sous-titre si besoin et le numéro du tome si c’est une collection/trilogie.
– Le nombre total de mots et de signes espaces compris que comporte votre texte.
– Votre nom de plume
– Vos noms et prénoms
– Vos numéro de téléphone/portable
– Votre adresse e-mail
– Votre adresse postale

Exemple de page de garde 

TITRE
Sous-titre

écrit par Nom prénom


00 000 mots
000 000 signes (espaces inclus)


Nom prénom
Adresse
Tél :
adresse e-mail